sa retraite paisible dans sa maison en Corse

Mylène Farmer : sa retraite paisible dans sa maison en Corse

Loin des projecteurs, mais toujours au cœur des curiosités, Mylène Farmer cultive depuis des décennies un goût prononcé pour la discrétion. Si ses chansons ont marqué des générations, ses choix de vie, eux, sont faits de silence, de nature et de lieux soigneusement choisis pour leur quiétude. Pourtant, quelques fragments de cette intimité ont filtré, dévoilant des adresses à son image : raffinées, isolées et pleines de caractère.

Un coin de paradis corse… trop exposé

Il fut un temps où Mylène Farmer avait trouvé son havre de paix à Pianottoli-Caldarello, un petit village du sud de la Corse. Imaginez : des paysages bruts, la mer à deux pas, des collines qui protègent du tumulte du monde. C’est là, entre les oliviers et les pierres sèches, que l’artiste avait choisi de poser ses valises, loin de l’agitation parisienne. Avec son compagnon Benoît D., elle y menait une vie discrète, presque invisible, bercée par le vent corse.

Mais même les refuges les mieux gardés ne résistent pas à la curiosité des fans. Des intrusions répétées ont brisé le charme. Ce qui devait être un cocon de tranquillité est devenu un lieu d’inquiétude. Trop, c’était trop : la chanteuse a préféré partir, laissant derrière elle cette maison qui avait pourtant tout d’un rêve de liberté.

Saint-Cloud : le retour au calme… sécurisé

Après la Corse, cap sur la région parisienne. Mylène Farmer a d’abord tenté un retour en douceur avec une villa dans le 16e arrondissement, mais c’est finalement à Saint-Cloud, dans le quartier très sélect de Montretout, qu’elle a trouvé son nouveau refuge. Un choix judicieux : ce coin paisible des Hauts-de-Seine, prisé pour ses grandes propriétés et son extrême confidentialité, coche toutes les cases pour une star en quête d’anonymat.

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C’est aussi une forme de retraite active : tout en étant à deux pas de la capitale, l’endroit permet de s’en abstraire. Et c’est probablement cela que cherche Mylène Farmer : être proche sans être visible.

Une demeure au charme intemporel

La maison qu’elle a choisie est à son image : élégante, discrète, entourée de nature. Une bâtisse du XIXe siècle, posée sur un terrain de 2000 m², à l’abri des regards et enveloppée de verdure. On l’imagine facilement flânant dans le jardin, carnet à la main, griffonnant les premiers mots d’un prochain texte, ou simplement observant le silence.

Ce choix d’un cadre verdoyant en pleine ville en dit long sur ses besoins : un lieu où elle peut créer, rêver, se recentrer. Une bulle. Un écrin. Une façon, aussi, de préserver une routine simple, loin des flashs et des chroniques.

Une icône fidèle à elle-même

Depuis ses débuts, Mylène Farmer cultive le mystère. Et ce mystère passe aussi par les lieux qu’elle habite. Pas de paillettes ni de démonstrations ostentatoires : ses maisons sont des refuges, presque des extensions de son âme d’artiste. Que ce soit au cœur des montagnes corses ou dans les hauteurs feutrées de Saint-Cloud, elle reste fidèle à sa ligne de conduite : vivre cachée pour mieux créer, aimer, rêver.

Dans un monde où tout s’expose, elle choisit de disparaître. Et c’est sans doute cette discrétion, presque radicale, qui fascine encore autant. Un peu comme ses chansons : elles nous parlent, mais ne nous disent jamais tout.

Jules Jourdain est un passionné de voyages et spécialiste du monde du camping-car. Il rédige des articles thématiques mêlant conseils pratiques, récits d’escapades et actualités du secteur. Son objectif : accompagner les voyageurs dans leurs aventures sur les routes.

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